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Nous
sommes en 1957, après le lancement
"stratosphérique" de la DS 19 fin 1955, et le lancement
réussi de l'ID 19 fin 1956, Citroën songe
à diversifier sa gamme D. Il y a bien-sûr une
déclinaison en cabriolet de sa berline DS prévue,
mais le plus urgent, c'est la version "utilitaire" qui est à
concevoir. Connaissant les qualités intrinsèques
de sa DS (confort, tenue de route, capacités "hors normes",
sans concurrence), une version "break" semble promise à un
avenir radieux.
C'est le début de la grande
aventure des DS break, elle durera jusqu'en avril 1975.
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C'est Pierre Franchiset, l'Homme qui a conçu le type H, qui s'attelle à la tâche. L'idée c'est de faire mieux que la concurrence, et ce n'est pas les modèles qui manquent. . . | |||
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Chez Peugeot il existe 2
modèles, la 203 break (à gauche) et la 403 break
(à droite). Ce sont des modèles robustes,
rustiques, un rien "dépassés" techniquement avec
leur pont arrière rigide, d'une beauté "agricole"
classique pour l'époque. |
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Chez Renault (à gauche), la
"Domaine" essaye de sortir son épingle du jeu
malgré son moteur lymphatique, son pont arrière
et son prix. Chez Simca (à droite), nous avons la
"châtelaine" avec son moteur anémique et son pont
arrière tout aussi rigide. En fait, toutes ces voitures, avec leur
ligne "ponton" se ressemblent ! Pas seulement au niveau de leurs
lignes, mais aussi au niveau de leur finition, ce ne sont plus des
"voitures" mais des utilitaires purs et durs avec une caisse
d'automobile à l'avant et une grosse verrue à
l'arrière pour y mettre un maximum (possible) de
marchandises. Accessoirement, on y monte une banquette
arrière rabatable pour y installer la famille le week-end.
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Et que
dire de la maison Citroën, il n'y a plus rien ! Seule le HY et
la 2CV fourgonnette étaient au catalogue, la traction
"commerciale", digne d'une autre époque ne se fabriquait
plus. Mais Pierre Franchiset est un homme qui a de la suite dans les
idée. Nul doute qu'il a remarqué au salon de
l'auto 1955, près de la "bombe" du salon, la nouvelle DS 19,
un break bien plus moderne et nettement plus joli, la Simca Marly. |
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La Simca Marly
(à gauche) est la première voiture break
"ludique", fabriquée en France. Ce n'est pas un utilitaire,
c'est une vraie voiture, avec des performances de voiture, une finition
digne de ce nom à l'intérieur, des chromes, une
belle galerie sur le toit, et 1000 gadgets à son bord pour
aider ses occupants à rouler dans excellentes conditions.
D'après Olivier de Serre, dans son livre "la DS le grand
livre", Pierre Franchiset se serait entretenu avec le
représentant français de Nash, qui commercialise
un break (à droite) qui représente le tiers de sa
production aux états-unis ! Il est vrai que le
véhicule est joli, c'est une véritable voiture et
ça n'a rien à voir avec un utilitaire pur et dur.
Le break Marly, avec son influence américaine, en est un
digne représentant. |
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L'histoire se met en marche, la DS break sera l'aboutissement de 2 années de recherches visant à proposer à la clientèle un véhicule polyvalent, à la fois pratique pour les artisans, logeables pour les familles et gardant toutes les spécificités techniques des berlines DS. Pour cette réalisation, il est hors de question de tôles ondulées ou autres éléments purement utilitaires. Il faut faire du "beau", de l'utile, avec une image de modernisme, bref faire une "DS à grand volume". Pour contenir les coûts, la plate forme (renforcée) de la berline sera conservée, ainsi que tous les éléments de carrosserie jusqu'aux portes arrière. Pour "contenir" les coûts de fabrication, la finition sera celles des ID. Techniquement, les ingénieurs privilégient des organes mécaniques commun aux ID, mais de nombreux problèmes techniques se heurtent au cahier des charges qui prévoit, entre-autres une charge transportable de 500kg + 80kg sur la galerie + 3 personnes à bord ! Ajoutez à ceci une remorque, le pauvre moteur de l'ID ne sera pas assez "dynamique" ! Prenez l'efficacité du freinage, une ID berline de la fin des années 50, ça ne freine pas assez ! Il faut se mettre en freinage d'urgence pour avoir enfin du "mordant". Résultat, les ingénieurs sont obligés de piocher dans la banque d'organes des DS 19. Cela augmentera sensiblement le prix des DS break, elles ont toujours été chères ! Pendant ce temps, les journalistes d'investigations automobiles ne chôment pas . . . | |||
. . . Dès Octobre 1957, les fins limiers de l'auto-journal étaient déjà au courant du projet. Après la publication de cet article, on imagine le ressentiment des hommes de Javel, "l'Affaire" de l'auto-journal est encore dans tous les esprits. | |||
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En
Septembre 1958 plusieurs prototypes de DS break sont prêts.
Si la partie avant ne présente pas de nouveautés
notoires par rapport à la DS berline, l'arrière
est entièrement nouveau. Il y a cependant encore de nombreux
détails "non-finalisés".
Par rapport au modèle définitif de nombreux détails sont à noter. Les ailes arrière sont plus échancrées. L'aile arrière n'a pas de tôle devant le support de butoir arrière (le fameux petit chat noir). Les feux arrière sont déjà ceux qui seront produits en série, mais leur support, en aluminium massif, se cherche encore, il n'a pas la découpe en pointe qui finalisera l’esthétique de l'aile arrière. Le catadioptre, qui est déjà définitif, n'est pas encore centré, la vis de fixation de l'aile disparaitra par la suite, derrière le catadioptre. Le hayon inférieur n'a pas la forme définitive, il n'y a pas encore de pare-choc en aluminium. Un bandeau noir entoure les glaces arrière, le reste du hayon et le châssis, est de la teinte de la carrosserie. Les éclairages de plaque de police ne seront pas repris sur le modèle de série . . . |
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néamoins, 2
de ces prototypes seront présentés au 45ème salon de
l'automobile du 2 au 12 octobre 1958.
Il y aura par la suite 2 autres
prototypes présentés au salon des utilitaires de
la porte de Versailles en octobre 58. Le bureau d'étude
semble encore hésiter sur de nombreux points de
détail. Un mois avant, en septembre 1958 les
concessionnaires
reçoivent les
premières documentations techniques et
commerciales définitives. |
Salon des utilitaires 1958 (porte de Versailles) |
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45ème Salon de l'automobile, le jeudi 2 octobre 1958 (au grand Palais à Paris) | |||
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Salon de
l'automobile 1958.
Présentation de la nouvelle DS break au président
de la
république Monsieur Coty. On distingue tous les
détails
propre au DS break "prototype" (feux arrières, ailes
échancrées, hayon inférieur). La DS break n'est pas prête, de nombreux détails ne semblent pas encore convenir à la direction. Citroën décide néanmoins de prendre les premières commandes, tout en reportant sa commercialisation. |
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Malgré
le "manque d'informations" concernant sa commercialisation, la
clientèle commence à commander la DS break, dans
les 3
finitions "familiale, break qui sera renommé plus tard
"luxe" et commerciale". La finition "confort" n'existe pas encore et la
version "ambulance" n'est pas terminée, le prix n'est pas
encore défini. Il est intéressant de noter que
les "délais de livraison présentés"
étaient
de 6 mois.
Hélas, pour les acheteurs ayant commandé le ID 19
break au salon 58, ils attendront octobre 1959 (12 mois) pour obtenir
enfin leur break! Ceci dit, à l'époque un
délai de livraison d'un
an était normal pour de nombreux véhicules.
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.. .. . . . . . L'auto journal, qui est toujours "en froid" avec la direction de Citroën, présente dans son édition du 15 octobre 1958 la nouvelle DS break . . . . . . . . . . . . . . . . |
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. | . . . . . il faut dire qu'ils ne font rien pour "détendre l'atmosphère" avec ce petit rappel qui a dû faire grincer des dents beaucoup de dirigeants du double Chevron ! | ||
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Extraits de la revue du "Touring club de France", n°689 de novembre 1958. Un article est consacré au 45ième salon de l'automobile. | |||
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Début aout
1959, les concessionnaires reçoivent une nouvelle
documentation
sur les DS break, cette fois-ci les prix sont clairement
indiqués, il n'est plus question de délais de
livraison,
la machine est en marche.
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Au
salon d'octobre
1959, Citroën présente enfin ses DS
break en version définitive. Voici une rare photo en couleur
de ce salon. On y distingue une ID 19 F en version "familiale" de
couleur "écaille blonde". On remarque que la coque et la
carrosserie sont de la même couleur, les 600 premiers
modèles seront assemblés dans cette configuration
(teinte de carrosserie et coque identiques). En novembre 59, la teinte
"écaille blonde" sera supprimée au profit du
"bleu Monté-carlo". Quant aux versions "familiale", elle
n'apparaitront qu'en mai 1960, il n'y a donc jamais eu de DS
"familiale" dans la teinte "écaille blonde". Cette photo est
historique, c'est sans doute la seule familiale de cette teinte ! S'il
n'y avait pas de photos en couleurs, personne ne connaitrait
l’existence d'un tel modèle ! L'auto-journal présente la gamme ID 19 F dans son édition du 15 octobre 1959. |
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C'est le début de la grande aventure des DS break, elle durera jusqu'en avril 1975. | |||
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Construction de la DS break. | |||
Durant
l'été 1959 la
production en série du break ID 19 démarre, il
sera
enfin
disponible à la clientèle à partir du
premier septembre 1959.
C'est
l'usine de Javel (Paris quinzième arrondissement) qui se
chargera de la construction de la DS break de 1959 à 1975.
Il n'y a jamais eu, à ma connaissance, de DS break
assemblées dans l'autre usine de la région
parisienne, Aulnay (quelques ID berline y seront assemblées
de 1973 à 1975).Les
coques des DS breaks, ainsi que les hayons et les toits seront
fabriqués à la Carrosserie de Levallois
à partir de berlines
semi-complètes fournies par Javel.
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Elles retournent ensuite à
Javel et accrochées sur un convoyeur aérien avec
leurs éléments de carrosserie. La
première phase de préparation consiste
à dégraisser tous les
éléments, les rincer. Le convoyeur plonge ensuite
la future DS break dans un bain de solution phosphorique qui attaque la
tôle, lui donne une surface "cristalline", qui sera une
excellente base d'accroche à la peinture. Les
éléments de carrosserie sont
séparés de la coque. La
coque est peinte et se dirige vers la "première finition".
Les éléments de carrosserie vont aussi en
peinture et sont stockés en magasin. Ils rejoindrons leur
coque toute équipée en "deuxième
finition". Dans un premier temps les coques étaient peintes dans la même couleur que leur carrosserie correspondante. Des problèmes ont du survenir lorsqu'il fallait fournir les carrosseries équipée, en deuxième finition avec la teinte correspondant à celle de la coque. Devant la complexité de l'opération, au 600ième modèle environ, il a été décidé de fournir toutes les coques Gris rosé (AC 136). Cela durera jusqu'à la fin de la production (premier semestre 75). N'oublions pas que ce problème n'est jamais arrivé pour la berline, puisque toutes les coques étaient noires du premier modèle en 1955 jusqu'à la fin en 1975. |
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A partir de l'été 1969, les DS breaks auront droit au traitement par " électrophorèse". | |||
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Première finition. | |||
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Cette "première finition",
au premier étage, comporte 4 tronçons: montage
des pièces mécaniques (essieux AV et AR), montage
des éléments hydrauliques, montage du circuit
électrique et habillage intérieur de la caisse
(tapis et garnitures etc...) |
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Deuxième finition. | |||
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Ensuite ce qui commence à
ressembler à une DS break descend sur la ligne
mécanique au rez de chaussée pour y recevoir son
ensemble moteur/boite de vitesses. on y monte les transmissions, les
freins et la direction.
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La DS break reçoit ensuite des "fausses roues", des élingues y seront fixés pour la hisser sur un convoyeur surélevé (montage des dessous, tôles de protection, échappement). | |||
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Le
moteur est mis en route, on y effectue les réglages et les
contrôles de la liaison au sol. Pour la première
fois de sa vie, notre "presque DS break" va regagner par ses propres
moyens la phase finale de la deuxième finition sur l'une des
2 lignes principales. |
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On
y monte les
éléments d'habillage (portes, ailes, etc...).
Ensuite c'est au tour des éléments
intérieurs. Les sièges arrivent par
gravité sur des toboggans. Ces
opérations ne sont pas
mécanisées, elles utilisent une main
d’œuvre spécialisée
nombreuse.
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1967 | 1972 | ||
Après un lustrage et un contrôle rigoureux d'aspect dans un tunnel très lumineux, les DS break descendent au sous-sol pour un contrôle d'étanchéité. | |||
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Les DS breaks terminées
rejoignent ensuite le hall de livraison, avec d'un
côté les DS prêtes à partir
et de l'autre celles qui doivent subir une petite intervention au
"plateau retouches". Vous trouverez dans ce dossier toutes les étapes plus détaillées de la construction d'une DS. (disponible aussi en version PDF). |
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Les DS break rejoignent ensuite leurs différents lieux de stockage. Je vous conseille de lire cet article extrêmement intéressant de notre cher confrère le Docteur estipallas. Il y décrit, dans le détail, les nombreux points de stockage de Citroën en région parisienne. | |||
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Et
puis viens le grand jour, celui du grand départ, vers sa
nouvelle destinée. Cela commence immuablement en camion ou
en train. A l'image de cette DS break en 1972 surprise en Colombes et
Courbevoie sur un raccordement aujourd'hui disparu.
Bonne
route.
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Dès le début de sa commercialisation, Citroën accentuera le caractère polyvalent de sa DS break. | |||
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Le succès sera immédiat et durera 16 ans, date à laquelle elle sera remplacé par la non moins révolutionnaire CX break.... | |||
Globalement les
breaks DS suivront les
évolutions techniques des
berlines DS correspondantes. On peut même dire que la
finition, la
carrosserie, les aménagements intérieurs sont
assimilables aux ID, aux
DS "confort" à partir du millésime 70. En
revanche, techniquement, et quoique l'on en dise, tous les breaks sont
des DS. Une autre particularité des DS breaks, quelques soient leur finitions, elles auront le même aspect extérieur, les carrosseries et ornements seront tous identiques. |
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Citroën proposera 6 finitions à ses DS breaks correspondant à des besoins particuliers. | |||
Les breaks "luxe" | Les breaks "confort" | Les breaks "familiale" | |
Pour la clientèle "privée", Citroën proposa 3 niveaux de finition. | |||
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Les breaks "commerciale" | Les breaks "ambulance" | Les breaks
"funéraires" |
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Pour la clientèle "professionnelle", Citroën proposera ces 3 versions très différentes. | |||
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Il y aura 16 millésimes de septembre 59 à 76. | |||
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Quand je parle de 16 millésimes, je considère les années 75 et 76 comme étant du même millésime. Les breaks DS vendus de septembre 75 à 76 ne sont que des stocks du millésime 75 (fabriqués à partir de juillet 1974 au premier semestre 75). De plus, les n° de série le confirment, il y a pleins de DS break "76" avec des n° de coque antérieurs à des modèles 75. En réalité, il n'y a eu aucunes modifications pour les modèles commercialisés à partir de septembre 75. Les carrossiers ambulanciers, qui étaient les principaux clients, se sont rués sur les derniers modèles disponibles en stock. | |||
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